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أطبّاء بلا حدود تُحذر من عواقب إنسانية وخيمة في حال إغلاق مخيم ليلان للنازحين
Displaced people in Iraq’s Laylan camp express fears as camp closes
Staff entry restrictions force MSF to withdraw from COVID-19 response in Venezuela hospital
تدعو منظمة أطباء بلا حدود الحكومات والجهات المانحة إلى الإسراع في إجراء اختبارات السل وعلاجه
على الحكومات دعم اقتراح تعليق براءات الاختراع والممارسات الاحتكارية خلال جائحة كوفيد-19
“What Europe is experiencing today, is not a humanitarian crisis, but a crisis of humanity.”
MSF denounces ongoing violence in Salamabila
Improved medical response sees the end of DRC’s eleventh Ebola outbreak
Governments must support landmark proposal to waive COVID-19 patents
MSF and the Rohingya 1992 - 2014
All Speaking Out Case Studies > MSF and the Rohingya 1992-2014
The Rohingya people live in northern Rakhine state (formerly Arakan), located in western coastal Union of Myanmar (formerly Union of Burma) bordering Bangladesh to the north. The stateless Rohingya are predominately a Muslim minority, in a majority-Buddhist country. Since the late 70s, the Rohingya have fled persecution and violence to seek refuge in Bangladesh.
The case study "MSF and the Rohingya 1992 - 2014" brings to light two decades of MSF advocacy activities as part of its humanitarian assistance to the Rohingya people in Bangladesh and Myanmar and explores the questions and dilemmas the organisation was confronted with surrounding speaking out.
Questions and dilemmas:
- Under an authoritarian regime, should MSF maintain a medical operational presence which enables information collection for potential public positioning, while imposing a communication silence for fear of losing access? Two apparent choices regarding public health and "temoignage" emerge:
- Abandon patients whose life depends on MSF treatment, such as HIV/AIDS cohorts, to speak out against the persecution of a population such as the Rohingya.
- Abandon a persecuted population through silence, or no public witness of their plight despite the maintenance of an operational presence and data collection which attests to the suffering.
- While substituting MSF public witnessing with second-hand witnessing (MSF gives data to human rights organisations, UN agencies, media, etc.) in order to maintain contact and medical activities for the Rohingya population in danger:
- Is it possible for MSF to control these second-hand messages? What should MSF do when the message is altered or simply ignored?
- What is the value in substituting MSF's public voice with that of non-medical organisations?
- What is the value in maintaining a presence when the substituted voices are not impacting the plight of the Rohingya?
- When purely medical data are not available or the data available do not directly link health status to persecution, should MSF denounce persecution on the basis of data which describes human rights violations?
- Does this risk the organisation's credibility as medical and humanitarian? If so, should MSF remain publicly silent to maintain credibility and/or access? Are there cases where silence increases access over time?
- If MSF credibility is not at stake and no direct link between the health status and persecution can be established, what other circumstances could/can justify an MSF refrain from denouncing human rights violations?
- When MSF agrees to work concurrently in "ethnically exclusive" clinics to prove its impartiality, such as those clinics for the vulnerable Rohingya separated from those from the larger Rakhine population, is MSF thereby complicit in segregation policies? In so doing, does MSF reinforce the regime's policies of ethnic detention and "encampment" ?
- How far can MSF push negotiations for access with a regime that detains MSF staff members?
MSF et les Rohingya 1992 - 2014
Toutes les études de cas > MSF et les Rohingya 1992-2014
Les Rohingya vivent dans le nord de l’Arakan, un des États du Myanmar (anciennement Birmanie) situé à l’ouest du pays, à la frontière avec le Bangladesh. Ils sont majoritairement musulmans, dans un pays où la population est en majorité bouddhiste. Depuis la fin des années 70, les Rohingya ont fui les persécutions et les vagues de violence pour trouver refuge au Bangladesh.
L’étude de cas “MSF et les Rohingya 1992 – 2014” met en lumière deux décennies d’activités de plaidoyer de MSF dans le cadre de l’assistance humanitaire portée à la population des Rohingya au Bangladesh et au Myanmar.
Au cours de ces deux decénnies de présence et de secours aux Rohingya, MSF a été confronté à une série de dilemmes et de questionnements majeurs, parmi lesquels:
- Face à un régime autoritaire, est ce que MSF doit s'efforcer de maintenir une présence médicale opérationnelle lui permettant de collecter des informations pour un éventuel positionnement public, tout en s'imposant le silence en matière de communication afin de ne pas perdre cet accès ? Deux choix possibles opposent santé publique et témoignage:
- Abandonner des patients vulnérables dont la vie dépend des traitements fournis par MSF, telles que les cohortes de patients atteints de VIH/SIDA sous antirétroviraux et les Rohingya, pour prendre la parole et dénoncer la persécution d'une population telle que les Rohingya.
- Abandonner une population persécutée, telle que les Rohingya, en restant silencieux et en ne témoignant pas publiquement de son sort, malgré le maintien d'une présence opérationnelle et de la collecte de données qui attestent de leur souffrance, afin de préserver une présence opérationnelle auprès de patients dont la vie dépend des traitements fournis par MSF (patients atteints de VIH/SIDA)
- Lorsque MSF, afin de préserver sa présence et ses activités médicales auprès d'une population en danger, substitue à sa propre parole publique sur le sort de cette population, un témoignage de seconde main laissé à des organisations de défense des droits humains, des agences de l'ONU ou des media, etc., auxquelles MSF a transmis ses propres données:
- Est-il possible pour MSF de contrôler le message diffusé par ces témoignages de seconde main? Que faire lorsque ce message est altéré ou simplement ignoré?
- Quel est l'avantage de remplacer la parole publique de MSF par celle d'organisations non-médicales?
- Quel est l'intérêt pour MSF de maintenir une présence active mais toujours silencieuse auprès de cette population, lorsque la parole publique de "substitution" d'autres organisations n'a aucun impact sur le sort de cette même population?
- Lorsque des données purement médicales ne sont pas disponibles ou que les données disponibles ne lient pas directement l'état de santé à la persécution, est-ce que MSF doit alors dénoncer cette persécution sur la base de données décrivant les violations des droits de l'homme? Cela met-il en danger la crédibilité médicale et humanitaire de l'organisation ?
- Si cette crédibilté est en jeu, est-ce que MSF doit garder le silence afin de la maintenir sa crédibilité et par là-même d'essayer de maintenir l'accès ? Existe-t-il des situations où le silence permet d'augmenter l'accès au fil du temps ?
- Si cette crédibilité n'est pas en jeu et qu'aucun lien direct entre l'état de santé et la persécution ne peut être mis en évidence, d'autres circonstances peuvent-elles justifier que MSF s'abstienne, malgré tout, de dénoncer les violations des droits humains?
- En acceptant, afin de prouver son impartialité, de travailler dans les lieux de soins "exclusifs ethniquement", tels que les dispensaires réservés aux Rohingya, d'une part et ceux réservés à la population générale de l'Arakan d'autre part, est-ce que MSF se montre complice voire renforce les politiques de ségrégation, de détention sur des bases ethniques et d'enfermement dans des camps menées par le régime ?
- Quelles peuvent être les limites de MSF dans ses négociations pour l'accès à des populations avec un régime qui détient des membres de son personnel ?
L’étude de cas “MSF et les Rohingya 1992 – 2014” met en lumière deux décennies d’activités de plaidoyer de MSF dans le cadre de l’assistance humanitaire portée à la population des Rohingya au Bangladesh et au Myanmar et explore les dilemmes auxquels l’organisation a été confrontée en matière de prise de parole publique
Vidéos prises de parole publiques : Génocide des Rwandais Tutsi 1994
Famine dans les camps de réfugiés burundais au Rwanda
1993 - MSF
Kigali pendant le génocide
MAHA Production 2006 - L'aventure MSF – Patrice Benquet, Anne Valleys – Dr. Jean-Hervé Bradol, Responsable de programme de MSF France
Tutsis et Hutus rwandais fuient les massacres
1994 - France 2
Le point sur la situation au Rwanda
1994 - France 2
Wouter van Empelen, Responsable de programme de MSF Hollande
Octobre1995 - MSF Hollande - Wouter van Empelen, Responsable de programme de MSF Hollande
Témoin de meurtres à un checkpoint
Octobre1995 - MSF Hollande - Wouter van Empelen, Responsable de programme de MSF Hollande - Filmé dans la région de Butaré
MSF (Un) Limited: Dr Rony Zachariah
MSF Belgique - Témoignage du Dr Rony Zachariah sur le massacre du personnel rwandais de MSF pendant le génocide
Les débats internes concernant la qualification de génocide
MAHA Production 2006 - L'aventure MSF – Patrice Benquet, Anne Valleys – Dr. Jean-Hervé Bradol, Responsable de programme de MSF France
MSF dénonce l'inertie de la France
16 mai1994 - TF 1 - Dr. Jean-Hervé Bradol, Responsable de programme de MSF France
MSF sur l’inertie du gouvernement français à faire pression sur les génocidaires
MAHA Production 2006 - L'aventure MSF – Patrice Benquet, Anne Valleys – Dr. Jean-Hervé Bradol, Responsable de programme de MSF France
Prise de Kigali par le FPR
5 juillet 1994
Rencontre entre MSF et le président Mitterrand 12 juin 1994
MAHA Production 2006 - L'aventure MSF – Patrice Benquet, Anne Valleys – Dr. Jean-Hervé Bradol, Responsable de programme de MSF France
MSF appelle à une intervention armée pour stopper le génocide
1994 - France 2
Opération Turquoise
22 juin1994
Vidéos prises de parole publiques: MSF et les Rohingya 1992 - 2014
1978 : Les réfugiés Rohingyas au Bangladesh
Reportage au Bangladesh dans le camps de réfugiés de la minorité musulmane Rohingya, chassée hors de Birmanie par les autorités birmanes dans le cadre de l'opération de nettoyage ethnique appelée "Dragon".
Journal de l'année 1992
Plus de 200,000 Rohingya fuient une violente répression au Myanmar et se réfugient au Bangladesh.
Un cyclone frappe la ville de Rangoun au Myanmar
Reportage sur le cyclone Nargis qui dévaste une grande partie du Myanmar. (en anglais)
Le cyclone Nargis met en évidence les obstacles que rencontre l’aide humanitaire
Conférence de presse de Médecins Sans Frontières sur l’aide humanitaire au Myanmar
Conférence de presse de MSF. (en anglais)
Le Bangladesh veut mettre fin à l’assistance aux Rohingya
Allégations de violences ethniques au Myanmar
Aung San Suu Kyi à propos des musulmans Rohingya
Analyse : Les récits contradictoires du Myanmar
aljazeera.com
Des Arakanais manifestent contre MSF
Manifestations contre MSF en 2014. (en birman)
Exode des Rohingya : Des milliers de musulmans Rohingya ont fui le Myanmar
Crise des Rohingya : Ils ont tué mon fils devant moi
Témoignage de Rachida, une réfugiée Rohingya qui a fui son village lorsqu’il a été attaqué par les forces de sécurité du Myanmar. (en anglais)
MSF : L’armée du Myanmar a tué 7 000 Rohingya en un mois
Situation au Bangladesh/Myanmar : Déclaration de la procureure de la Cour pénale internationale
Déclaration de la CPI. (en anglais)
Step up for TB report 2020
MSF calls on governments and donors to speed up TB testing and treatment
How we deliver medical humanitarian assistance
Everywhere we work, the circumstances are unique. Nonetheless, our programmes generally follow a common set of practices designed to make sure our resources and expertise are used to maximum effect.